Les constructions peu profondes sur un sol argileux sont soumises à divers déplacements dans leurs parties individuelles, pour le dire très simplement, due au retrait et au gonflement de l'argile (87). Couches de sol en saison sèche et chaude, surtout lorsqu'il est exposé au soleil, ils se dessèchent en raison de l'évaporation de l'eau à la profondeur 2,0 m, et encore plus profond. Au fur et à mesure que le sol s'assèche, le retrait se développe, d'autre part, lorsqu'il est irrigué, le sol gonfle. Les fondations posées dans la zone de fonctionnement de ces procédés sont déformées, ce qui entraîne à son tour des dommages aux parties supérieures du bâtiment.
Les sols lœss se comportent de la même manière, sauf qu'en cas d'augmentation de l'humidité causée par les conditions météorologiques ou, par exemple,. fuites locales dans l'approvisionnement en eau ou le système d'égouts, la structure du sol change, il y a une perte rapide de force et un tassement ultérieur de l'effondrement (règlement supplémentaire) causant des dommages aux bâtiments (07>.
L'élaboration d'un concept de sécurisation des bâtiments endommagés à la suite de mouvements de terrain provoqués par les phénomènes décrits ci-dessus doit, en règle générale, être précédée d'une recherche approfondie du sol lui-même, la profondeur de dépôt de la couche et la méthode de fondation. Dans le même temps, il est nécessaire d'observer le comportement des couches porteuses du sol sous charge, notamment ses déformations et le comportement du bâtiment lui-même. Par conséquent, il devient nécessaire d'effectuer des mesures géodésiques systématiques.